
Pourquoi le Brésil ?
Ayant toujours été attirée par ce pays, la perspective d’une nouvelle langue dans un pays dynamique où les opportunités en finance sont nombreuses m’a convaincue instantanément.
Mon parcours
En 2009, après une année d’étude en Argentine, je rentre en France pour mes 2 dernières années de finance à Dauphine, en apprentissage avec le souhait de retourner en Amérique du Sud une fois diplômée.
Ma recherche d’emploi au Brésil
En Janvier 2011, soit presque un an avant la fin de mes études, je commence mes recherches de travail au Brésil, avec pour projet d’y rester au moins 5 ans.Un an, mille cv envoyés et un site internet créé plus tard (4francaispourlebresil.com), toujours rien de concret. Je me rends a l’évidence : pour gagner en crédibilité, mieux vaut chercher un travail sur place.Une valise, un deuxième tsunami de mails de candidatures en amont de mon arrivée et quelques cours de portugais plus tard, me voila au Brésil.
Le networking, déterminant pour mon embauche au Brésil
Si je devais résumer mon expérience de recherche de travail au Brésil :Prologue : Networking (réseau d’anciens, et tout réseau de réseau voire réseau de réseau de réseau) / Linkedin / Candidatures spontanéesActe 1 : prolongation du prologue en France, avec en plus :
- Scène 1 : conférences/rencontres avec des contacts ayant travaillé au Brésil
- Scène 2 : consolidation de nos efforts avec 3 autres étudiants dauphinois désirant travailler au Brésil avec la création du site 4francaispourlebresil.com
- Scène 3 : début des cours de portugais (et d’une addiction chronique a A vida da gente, une sombre histoire de novela brésilienne “juste pour apprendre le portugais et comprendre un peu plus la culture brésilienne”)
Acte 2 : action//réaction ==> direction São Paulo pour tenter d’arrêter de chercher un travail au Brésil, et commencer à en trouver un (les beigbederophiles auront reconnu la citation)
- Scène 1 : effet canada dry : ça a le goût de l’acte 1, la saveur de l’acte 1… mais n’est pas l’acte 1 ! (2ème et dernière référence à mon sensei d’écrivain)
- Scène 2 : entretienS
- Scène 3 : Vous n’êtes pas au casino mais vous avez décroché le jackpot !
Arrivée à São Paulo, je rencontre l’équipe de {mlb}
Dès mon arrivée à SP, je rencontre Alexandrine Brami et l’équipe de My Little Brasil avec qui nous avions correspondu pour créer notre site 4francaispourlebresil. Alexandrine me met en contact avec beaucoup de cadres français travaillant au Brésil, dont mon employeur actuel (mais ne mettons pas la charrue avant les boeufs, ceci est une note pour la suite). S’en suivent des cours de portugais a l’IFESP pour pouvoir effectuer mes entretiens (expliquer dans un portugais un minimum correct que “moi vouloir travailler au Brésil”). Puis, je rencontre le plus de professionnels de la communauté française possible, que je démarche :
- En participant à des évènements de networking
- Par Linkedin au vu de leur profil
- Par email si j’ai ouï-dire du parcours d’entrepreneur et de cadres venues au Brésil
Et par la magie du networking en secouant très fort : les rencontres se multiplient.Quelques mois après mon arrivée, après moult entretiens, je suis embauchée chez Edenred (ex Accor Services) en analyse financière et consolidation, où je commence à travailler à Paris au siège en attendant mon visa. Quatre mois après, je reviens à São Paulo pour y commencer mon VIE.
Les mots-clés de ma recherche d’emploi au Brésil
En résumé : motivation + networking = Linkedin mais pas que ! Patience {difficile mais surtout pas impossible} le visa un jour je l’aurai !Dans cette démarche de recherche d’emploi, les personnes rencontrées ont souvent été très serviables, de bon conseil, et n’ont pas hésité à me mettre en relation avec d’autres professionnels. Le plus grand frein (qui n’est pas une barrière infranchissable) lors d’une recherche de travail au Brésil est, de mon point de vue, le visa (vous avez dit le mot tabou, perdu !). Ce qui est dommage car c’est plus la légende que la démarche qui fait peur… Enfin, mon histoire est très 2012, peut être que 2013 en sera autrement en ce qui concerne les visas (se Dilma quiser).Témoignage de Pauline Paris pour My Little Brasil
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Une belle histoire de réussite. Bravo, Pauline!
Félicitation! Beau témoignage.
Bravo Pauline, tu as compris le Bresil. Determination et comprehension de lá culture sont primordiaux! Corinne 16 ans de Bresil.
Merci Pauline pour ce témoignage, j’en suis au même point que le début de ton histoire, et ça fait plaisir de voir que ça peut marcher 😉
Une histoire touchante d’entraide et de persévérance! Courage pour la suite hihi 🙂
Bravo ! Patience est un maître mot au Brésil ! Rien n’est impossible mais tout prend bcp de temps …
Bravo poulette 😉 Je connaissais pas les détails, quelle persévérance, je suis contente pour toi ! Et merci pour ceux qui viennent et cherchent la même chose, à Alexandrine, toi et l´équipe, c´est vraiment bien.
Mais c’est un VIE c’est pas un contrat local, des VIE il en existe. En tout cas le but est atteind, bravo
Bonjour Sébastien,Si tu lis l’article c’est bien un contrat local sans visa que Pauline a trouvé.
Une belle histoire de réussite. Bravo, Pauline!
Félicitation! Beau témoignage.
Bravo Pauline, tu as compris le Bresil. Determination et comprehension de lá culture sont primordiaux! Corinne 16 ans de Bresil.
Merci Pauline pour ce témoignage, j’en suis au même point que le début de ton histoire, et ça fait plaisir de voir que ça peut marcher 😉
Une histoire touchante d’entraide et de persévérance! Courage pour la suite hihi 🙂
Bravo ! Patience est un maître mot au Brésil ! Rien n’est impossible mais tout prend bcp de temps …
Bravo poulette 😉 Je connaissais pas les détails, quelle persévérance, je suis contente pour toi ! Et merci pour ceux qui viennent et cherchent la même chose, à Alexandrine, toi et l´équipe, c´est vraiment bien.
Mais c’est un VIE c’est pas un contrat local, des VIE il en existe. En tout cas le but est atteind, bravo
Bonjour Sébastien,Si tu lis l’article c’est bien un contrat local sans visa que Pauline a trouvé.